Comment réussir la photo macro ?

Comment réussir la photo macro et bien débuter ?

Comment réussir la photo macro pour obtenir un joli cliché d’un insecte ou d’une fleur ? C’est un vrai défi pour tous les photographes passionnés de nature. Quels sont les différents facteurs pouvant influer sur la qualité de l’image ? Comment débuter son apprentissage de la macrophotographie ? Cet article n’est pas une copie du livre « La macro pour les nuls », mais un retour d’expérience de plusieurs années de pratique. Voyons les facettes à considérer pour être satisfait de son travail.

Définition de la photo macro ?

On définit la photo macro ou macrophotographie par la technique permettant de photographier à des rapports de 1:1 à 5:1, voir beaucoup plus. Par exemple, au rapport 1:1, la taille d’une mouche sur le capteur de l’appareil photo correspond à sa taille réelle. Aux rapports supérieurs, la mouche à 5:1 sera 5 fois plus grande !

Cette pratique est rendue possible grâce à un matériel spécifique que nous détaillerons par la suite. Je précise ce point, car d’une manière standard, le reflex numérique ne proposent pas réellement ces rapports d’agrandissements même si certains objectifs ou zooms standards semblent donner cette possibilité aux utilisateurs. D’où l’importance de bien comprendre quel matériel photo propose cette spécialité.

Critères des meilleurs objectifs macro ?

La réussite de ses photos macro dépendent pour une bonne partie du choix du matériel ! Pourquoi cela ? Comme vous l’avez vu, qui dit macro dit rapport d’agrandissement. Or sans matériel adapté, il y a peu de chance de toucher du doigt le but recherché.

 

Ainsi, l’étude du matériel photo adéquate est primordiale pour faire le bon choix. Par exemple, est-ce que l’autofocus est rapide et silencieux ou quelle focale est la mieux adaptée ? Vous allez voir que chaque partie est importante, car elle conditionnera la photo finale. Prêt la revue de détail ?

Arrivé à ce stade, vous devez commencer à avoir une idée de ce qui va vous permettre de produire de prises de vue de qualité. Mais pour aller au bout, nous devons aborder le choix de l’objectif. Il y a plusieurs raisons qui doivent être prises en compte avant l’achat.

Les amateurs experts, voir les professionnels ne jure que par la qualité optique de leur matériel photographique. Si je devais simplifier le propos, je dirais que l’objectif joue sur 80 % de la qualité finale. Donc pour obtenir une photo piquée, un beau bokeh, une image contrastée, pas de mystère, il vous faut une très bonne optique. Pour y voir clair, vous trouverez des objectifs avec stabilisation et d’autres sans. L’avantage de la stabilisation est qu’il permet de faire des clichés nets à vitesse lente.

Les verres UD (Ultra Low Dispersion) chez Canon et ED (Extra-Low Dispersion) chez Nikon sont les garants d’une image avec un micro contraste qui renforce l’impression de netteté.

Quelle focale choisir pour la macro ?

Généralement, les objectifs macro ont des focales allant du 60 mm au 180 mm en passant par le 90 mm et le 105 mm. Tous ont un rapport 1:1 sauf le Canon MP-E 65mm f/2.8 qui lui a un rapport réglable de x1 à x5. Sigma, Tamron et Tokina proposent des objectifs Macro à monture compatible avec Canon et Nikon. D’une manière générale, quelle optique choisir pour la macro Nilon ou Canon ? Pour vous aider, voici la liste de quelques cailloux de qualité :

  • Canon : EF 100mm f/2.8L Macro IS USM | EF 180mm f/3.5L Macro USM | MP-E 65mm f/2.8 1-5x
  • Nikon : AF-S Micro NIKKOR 60mm f/2.8G ED | AF-S VR Micro-Nikkor 105mm f/2.8G IF-ED | AF Micro-Nikkor 200mm f/4D IF-ED
  • Sigma : 105 mm f/2.8 Macro DG EX OS HSM
  • Tamron : 90 mm f/2.8 SP Di Macro
  • Tokina : 100 mm f/2.8 AT-X Pro D Macro

Choisir son appareil photo

Aujourd’hui plus que jamais, le monde des appareils photo est légion. Les marques de reflex, hybrides, bridges, compactes, smartphones sont tellement riches que le choix peut se révéler compliqué. Alors pour limiter un peu, je ne vous parlerais que de certains d’entre eux. Pour ce qui est des marques, Canon, Nikon sont les leaders et les plus connus. Mais il y en a d’autres, comme Sony, Olympus et bien d’autres…

Alors pour apprendre à distinguer un reflex d’un hybride (nouvelle génération d’appareil photo numérique), voici quelques informations techniques pour choisir celui qui correspondra à vos besoins.

Le reflex

Un reflex numérique est un boîtier photo acceptant différents types d’objectifs, on dit qu’ils sont interchangeables. Il se distingue aussi par les 2 types de capteurs, APS-C et plein format appelé aussi Full Frame. L’offre en magasin ou sur les sites marchands est assez diversifiée pour donner à toutes les bourses le moyen d’accéder à cette catégorie d’appareil photo. Mais avant de ne considérer que le prix (qui est quand même important), je vous propose de vous expliquer les différences entre les capteurs APS-C et pleins formats.

 

Boitier photo numérique
Boitier photo numérique

Le capteur APS-C

Si on devait classer le capteur APS-C, il serait classer dans moyenne gamme, c’est-à-dire qu’il viserait commercialement les amateurs experts ou ceux qui souhaitent débuter avec un boitier numérique de qualité. Au fait que signifie le sigle APS-C ? Cette abréviation désigne un « Advanced Photo System type-C », autrement dit un système de photo avancé de type C ! À l’origine, le format APS est né en 1996 d’un projet réunissant les fabricants de pellicules (Fuji et Kodak) et des marques Canon, Nikon, Minolta notamment.

 

Tailles des capteur APS-C et Full Frame de canon, Nikon, Pentax et Sony

 

Les boitiers APS-C sont moins chers que les boitiers Full Frame. Pourquoi ? Tout d’abord, la taille du capteur APS-C est plus petite que celle du haut de gamme. Ici, les dimensions sont sensiblement les mêmes d’une marque à l’autre. Le format de l’APC-S est de l’ordre de 3:2. Ci-dessus, regardez une représentation des formats APS-C selon les marques Nikon DX, Pentax, Sony et Canon.

 

Différentes tailles de capteur photo
Différentes tailles de capteur photo

 

L’autre particularité est le facteur multiplicateur résultant du couplage objectif/boitier qui varie selon les fabricants. À titre indicatif, voici les différents coefficients de conversion :

  • 1.3×7 — Canon EOS-1D Mark IV, 1D Mark III, 1D Mark II (et Mark II N), EOS-1D
  • 1.5× — Nikon Fuji, Sony
  • 1.54× — Pentax
  • 1.62× — Canon
  • 1.7× — Sigma

En clair, qu’est-ce que ce charabia ?

Prenez un objectif Macro 100 mm F/2.8 L IS de chez Canon. Si vous le fixez sur un EOS 7D mark II, cela deviendra un 100 mm x 1.62 soit un 162 mm ! Vous augmenterez automatiquement votre profondeur de champ avec cette combinaison APS-C objectif Macro. En photo animalière, votre focal + le facteur multiplicateur vous donneront un avantage. Mais en photo macro, vous voudrez maîtriser justement cette profondeur de champ. Et puis, ce facteur multiplicateur réduit la qualité de votre photo.

Le capteur plein format

Avec le capteur plein format équivalent à la pellicule 24 x 36 mm d’autrefois en argentique, on entre dans le haut de gamme des constructeurs de reflex. La taille du capteur se paie plus cher à l’achat et la qualité globale des images est meilleure. Capable de monter dans les hautes sensibilités (ISO) tout en maîtrisant la montée du grain, elle permet au photographe d’aller dans des domaines inégalés.

À titre d’exemple, je me souviens de mon EOS 7D Canon à 400 iso. Les photos étaient déjà bruitées ! Alors, imaginez-vous à 800 ou à 1600 iso ce qui est courant en photo animalière. Alors qu’avec un reflex plein format comme mon EOS 5 D Mark III, monter aux mêmes sensibilités ne présente pas un problème qualitatif. Les images sont plus douces. La montée en grain (autrement dit la dégradation de l’image) est retardée aux sensibilités supérieures. Donc, c’est tout bénéfice pour l’utilisateur et pour sa photo !

L’hybride

2018 sera l’année de l’essor des appareils photo hybrides. Canon et Nikon ont sorti leurs gammes respectives avec les séries EOS M50 ou EOS R pour le rouge et Z6 ou Z7 pour le jaune. On trouve des appareils photo à capteur plein format ou APS-C chez pratiquement tous les fabricants. Les particularités de cette nouvelle génération de boitiers numériques sont la suppression du miroir (mirroless) donc amélioration de la cadence de la rafale (nombre d’images par seconde). Ils sont plus légers, car moins de mécanique. Le viseur optique n’est plus ici ! Le viseur électronique permet à l’utilisateur d’optimiser en direct les réglages de l’image. Une nouvelle gamme d’optiques a été fabriquée pour répondre au couplage du boîtier.

Personnellement pour réussir mes photos macro, je préfère m’orienter vers un viseur optique moins fatiguant pour les yeux ! Mais ce n’est juste que mon point de vue…

Le smartphone

À défaut d’avoir sous la main le matériel nécessaire, il est toujours possible d’utiliser son smartphone pour conserver un souvenir de la fleur ou de l’insecte si sa taille est suffisante. En effet, le problème avec le capteur photo du téléphone, c’est qui ne sera pas toujours en mesure de faire la mise au point exactement là où vous souhaiteriez l’avoir. Combien de fois, je suis revenu avec des images ratées à cause de ce défaut. Je ne rentrerais pas dans le détail bien qu’il soit possible d’obtenir des clichés de bonne facture.

il y a peut-être une niche pour ceux qui veulent développer la photo macro avec leur smartphone, le temps nous le dira !

Comparatifs de qualité entre APS-C et Full Frame

Pour vous en rendre compte, regardez le test de DXOMARK avec un Canon EOS 7 D Mark II (20 MPix) + un objectif Macro de 100 mm. Notez le résultat et faites-en un second en prenant l’EOS 5 D Mark III (22 Mpix) + un objectif Macro de 100 mm (le même). Le score final est sans appel pour le plein format avec une note de 28 contre 19 pour le 7D. Remarquez également, le paramètre « Sharpness » qui montre que pour une même photo, avec le plein format, le piqué de l’image sera meilleur avec 18 Mpix contre 11 Mpix.

Trépied ou mains levées

Les avis divergent sur l’usage du trépied ou pas. Quand on veut faire de la photo macro, le trépied doit permettre la photo à ras de terre par exemple. Autrement dit, les pieds doivent pouvoir se mettre à l’horizontale. La colonne devrait pouvoir sortir de son logement pour la positionner au plus près du sujet. Par conséquent, le trépied standard à 20 ou 30 € ne convient pas. La stabilité du trépied est critère de choix important. Il doit être léger pour le transport sur le terrain. Bref, en résumé il doit répondre à toutes les situations que peut rencontrer le spécialiste de macrophotographie.

Trépied photo macro Vanguard
Trépied photo macro Vanguard

Personnellement, pour les insectes j’utilise rarement le trépied macro. Par contre, pour les fleurs, il se révèle utile pour peaufiner la mise au point à l’aide de la fonction Live View qui permet d’avoir sur l’écran arrière le sujet.

Les accessoires macro sont-ils nécessaires ?

Dans cette partie, je classe les accessoires en 2 groupes. Le premier sert à grossir le sujet à photographier, le second à l’éclairer. J’ai testé tous ces accessoires avec leur limite d’usage. J’avoue qu’au final, je ne les utilise qu’occasionnellement ! J’apprécie la bonnette, car elle ne réduit pas la luminosité de l’optique. Les bagues allonges sont pratiques dans certains cas, mais nécessitent le démontage de l’objectif pour les utiliser. Les sujets à photographier sont tellement diversifiés qu’il est impossible de faire une sortie complète avec ces accessoires montés.

  • La bonnette se visse sur le filetage au bout de l’objectif et sert en quelque sorte de loupe.
  • Les bagues allonges sont insérées entre le corps de l’appareil photo et l’objectif. Elles réduisent la distance avec le sujet, mais diminuent la quantité de lumière arrivant sur le capteur. Un compris entre perte de lumière et grossissement sera à gérer en lumière naturelle ou avec un ou plusieurs flashes.
  • Pour ce qui est du flash annulaire, je vais vous parler de mon expérience personnelle. Je l’utilise uniquement pour la photo de papillons nocturnes, la nuit ! Je n’aime pas trop le rendu des photos lors de séances macro en journée. Du coup, je ne le sors que lorsque je procède à l’inventaire des papillons de nuit dans mon jardin.

Quand pratiquer la macrophotographie ?

Je pourrais vous dire que la photo macro n’a pas de saison, mais dans la réalité, il suffit juste de trouver le sujet qui vous intéressera. Avec cette perspective, n’importe quel moment de l’année peut faire l’affaire à condition de le vouloir. Sinon, pour les plus traditionnels comme moi, de la sortie de l’hiver à l’automne, vous disposez de plusieurs mois d’activité non-stop ! Vous serez votre propre frein…

Où faire de la macro ?

Alors pour répondre à cette question, vous devez avoir en tête ce que vous avez envie de voir. Je pars toujours du principe qu’on photographie bien ce que l’on connaît bien. Une fois avoir listé ce qui vous plaît, vous devrez déterminer le lieu qui sera susceptible de l’accueillir. Parfois, je suis surpris de découvrir à quel point on peut méconnaître son environnement local. Saviez-vous que dans la capitale à Paris, vous pouvez observer des orchidées sauvages ? À partir de là, partez en exploration, documentez-vous, faites des recherches sur internet, avant de vous lancer !

Voici une liste non exhaustive des lieux où faire de la photo macro :

  • Parc public
  • Bois
  • forêt
  • Prés
  • Jardin familial ou campagnard
  • Bord de chemin
  • Montagne
  • Plaine
  • Vacances

En fait, partout où la nature a fait son nid.

Quels sujets prendre en photo macro ?

Est-ce les animaux ou les fleurs qui vous plaisent ou plutôt ce qui attire votre regard d’artiste ? Là, tout dépend de votre sensibilité ! Vous pouvez envisager cette discipline via le biais artistique avec une note créative ou rester du côté naturaliste en captant des images spectaculaires d’insectes. Sachant que le matériel vous autorise des prises de vue à moins de 20 cm, libre à vous de choisir l’angle qui mettra le plus en valeur le sujet. Pour un même sujet, travaillez les zones de mises au point. Tournez autour pour découvrir si d’autres vues sont possibles. Sortez le matin de bonne heure lorsque le soleil est levé (vers 6h30 l’été) pour capter de belles lumières. Répétez l’opération en fin de journée quand la lumière est rasante. Testez des cadrages différents ce qui permet une d’autres compositions. Selon le sujet, passez sur un cadrage vertical. Et puis, essayer les contre-jours vous serez peut-être surpris du résultat.

Raiponce orbiculaire

 

Bref, c’est en forgeant que l’on devient forgeron ! Pour la photo macro, c’est pareil. Avec le temps, les différents essais de profondeur de champ, d’exposition du matin ou du soir, vous acquérez de l’expérience. Vous noterez la saison et le mois de votre fleur préférée et vous y retournez chaque année. Au début, vous serez peut-être un peu déçu. Mais en étant curieux, en testant les cadrages et les possibilités de votre matériel, vous découvrirez que le champ des possibles est large. Dans cette quête de la photo parfaite, vous n’aurez de limite que votre envie !

Les ingrédients d’une bonne photo

Pour réussir votre photo macro, vous devez maitriser votre matériel sur le bout des doigts, avoir fait des essais dans différentes situations pour vérifier le résultat. Peut-être avez-vous envisagé la scène finale et attendu le bon moment pour réaliser votre projet ? Toutes les belles images ont été préparées ! Ceux qui les font parlent rarement de ce qu’ils ont entrepris pour y arriver. Mais croyez-moi, les ingrédients de la réussite sont comme ceux d’un bon gâteau, ils sont nombreux, mélangés au bon moment avec le dosage approprié. Les ustensiles employés sont manipulés avec assurance pour la durée voulue. Vous découvrirez notamment les effets de la profondeur de champ et les magnifiques bokehs qui peuvent en résulter. Pour réussir ses clichés, c’est exactement pareil !

Si sortir seul dans la nature est un obstacle pour vous, pourquoi ne pas envisager ce loisir avec d’autres personnes dans le cadre d’un stage photo macro en forêt de Fontainebleau ?

Vous voilà équiper pour répondre à cette question : « Comment réussir ma photo macro ? ». J’espère avoir souligné ce qui était important pour prendre un bon départ dans la macrophotographie.

Et puis, si ce sujet sur la photo macro vous a inspiré, je vous invite à lire comment acquérir les bonnes méthodes pour photographier les papillons de nuit.

Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/APS-C

6 commentaires

  1. Bonjour, merci pour votre article. Pour ma part pas de souci pour la macro que je pratique depuis 2 ans maintenant. Par contre mon point bloquant est la perte de qualité de mes photos après compression du raw à jpeg.. je ne trouve pas la réponse.. comment éviter de perdre la qualité et netteté des photos ? Faut il photographier au plein format ?.. merci de votre aide.
    Bien à vous
    Sophie

    • Bonjour,
      Pour répondre à votre question sur le développement photo, je n’ai pas tous les éléments pour diagnostiquer le problème.
      Mais théoriquement, si le développement de la photo (raw vers jpeg) est fait à la même résolution avec un facteur de compression pas trop fort, vous ne devriez pas avoir de perte de qualité (si la photo est nette au format raw) !
      Cdlt

      • Bonsoir Djamal, merci de votre réponse.
        Puis-je me permettre de vous demander avec quel logiciel vous faites la compression de vos photos de raw à Jpeg ? et quel paramètre en terme de résolution et facteur de compression.
        Je vous développe mon souci…
        Je tire donc en Raw avec un Alpha 68 sony et un objectif macro tout neuf 100mm 2/8, avant je faisais mes macros enfin proxi photos via un 70/300 option bouton macro sur l’objectif.
        je passe en 1ère compression les photos dans le logiciel de sony le poids de la photo de 24200 ko on passe à 11000ko et ensuite je les passe dans ligthroom et là je passe à 400-460 ko en gros j’ai quasi plus rien et une compression extrême. Ma version de lightroom est ancienne 2.7, elle ne prend plus en charge mes photos en compression directe raw/jpeg, j’ai donc trouvé que cette solution.
        * Alors sur mes photos de proxi-photos il y a une perte, mais les photos restent belles et pas trop endommagées, je n’ai jamais été confrontée à ce souci depuis 10 ans que je fais de la photo et mais avec l’objectif macro là, je pleure !!!! les photos de sortie sont belles, je suis vraiment contente du résultat même si je dois apprivoiser cet objectif.
        Dans le logiciel de Sony, j’ai pas trop de choix de paramètre pour la compression, il y a 4 niveau et le niveau 1 est compression haute qualité et ensuite on descend en qualité et dans lightroom je fais un dimensionnement de l’image L/H à 1100 pixels… il y a le choix avec « po ou cm » aussi… peut-être que je ne dois pas prendre pixels ??!!! je ne sais pas…
        voilà, j’espère que mes explications sont claires !!! alors peut-être que je suis mauvaise dans le redimensionnement… bref je suis preneuse de vos conseils sur comment bien compresser, le logiciel à utiliser et la table entre résolution et compression… Je vous remercie vivement de votre aide.
        Bien à vous
        Sophie

      • Je vous propose Sophie de voir ça par Messenger (https://www.facebook.com/djamal.makhloufi), ce sera plus simple !

  2. Merci Djamal je garde sous le coude pour mieux l’étudier et m’en souvenir ? Merci !

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

error: Le contenu est protégé !